L’optimisme : un muscle qui se travaille
Psycho, Coaching
1er mai 2020
[social_warfare]
Comment muscler son optimisme : c’est ce qu’explique l’influenceuse engagée Catherine Testa, auteure du best-seller Osez l’optimisme ! et co-fondatrice du site loptimisme.com 1er site français d’informations 100% positives.
Interview de Catherine Testa pour Happiness Factory
Qu’apprend-on dans cette interview de Catherine Testa ?
Un parcours exceptionnel et fulgurant
- De formation scientifique, passionnée par la physique quantique, elle a travaillé dans les domaines du développement durable et du digital
- Elle décide de quitter le salariat pour co-fonder le site loptimisme.com en janvier 2016, 1er site français d’informations 100% positives et, la même année, lance une campagne de crowdfunding auprès d’une communauté de plus de 70 000 personnes pour financer la croissance de la plateforme. Bilan : 17 000€ de dons.
- Début 2017, Catherine Testa crée loptimisme.pro, le 1er club d’entreprises ouvert à tout acteur souhaitant avoir un impact dans son organisation et qui réunit près de 200 entreprises aujourd’hui.
- En avril 2017, elle publie Osez l’optimisme ! qui devient un best-seller (et dont on va parler très prochainement sur En 1 mot ;-).
- Depuis septembre 2018, elle est coach dans l’émission la France bouge sur Europe 1
- En avril 2019, elle intervient même au sénat sur la thématique de l’optimisme et du bien-être en entreprise. Fin 2019 , elle lance le 1er Club de l’Optimisme à Paris.
- En janvier 2020 , elle publie son 2ème livre Oser être soi… même au travail.
- Élue parmi les personnalités les plus influentes en France par LinkedIn en 2017, 2018 et 2019, elle est la seule française à figurer 3 années consécutives dans le classement !
- 4 ans après sa création, l’optimisme fédère une communauté de :
- plusieurs millions d’internautes
- +250 000 abonnés sur Facebook
- +120’000 abonnés sur Instagram
Catherine Testa est une personnalité atypique
Cette « self-made woman » fait partie des zèbres et des personnes hypersensibles. C’est ce qui lui a permis de se lancer dans différents domaines et de faire œuvre de pionnière.
Les 3 conseils de Catherine Testa pour cultiver l’optimisme
-
Acceptation de son imperfection
- La procrastination nous paralyse parce que nous avons peur de ne pas être la meilleure (le meilleur).
- En acceptant son imperfection, rien n’est acquis et on se donne le droit de s’améliorer étape par étape
- On accueille ce qui est et l’optimisme se plante là !
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Humilité face au temps
- En France, nous avons une notion socio-culturelle très figée face au temps.
- Aux USA, 3 gars qui codent un nouveau truc tout seuls dans leur coin seront peut-être les géants de demain !
- Il faut accepter que tout prend du temps.
- Ne pas juger le projet d’autrui car chacun chemine à son rythme.
-
Valorisation de l’expérience
- Il faut revoir la notion d’échec et se dire qu’on va expérimenter des choses.
- Par exemple, si on se lance dans l’entreprenariat, il faut se dire qu’on va regarder si l’on est capable d’en vivre, de vivre de son art.
- Dire j’ai essayé mais ça n’a pas marché, c’est déjà un succès. Le succès, c’est d’essayer.
- Avoir réussi c’est déjà s’affranchir du système
- Être créatif ça ne sert pas à passer le temps. On ne passe pas le temps avec notre art ! Notre art, c’est notre talent unique dont le monde a besoin.
Le monde de demain
- Les entreprises et les collectivités qui s’engagent et inventent le monde de demain se basent sur deux valeurs fortes : la transparence et l’authenticité.
- Il y a un déficit de confiance généralisé, même par rapport à la crise du covid-19 : on ne sait plus qui croire. La confiance s’établit sur l’authenticité et ça passe par un peu plus de simplicité.
- Il faut sortir du culte de l’égo. Ce sont les personnes qui travaillent pour le bien commun, l’utilité collective, le bien vivre ensemble, qui façonneront le monde de demain.
- Plus nous aurons fait du travail sur nous-même, du dévperso (développement personnel,) plus nous serons à même d’y arriver. Ce n’est pas de l’égoïsme de s’occuper de soi.
Optimisme et « happy washing »
- Comme le « green washing », le « happy washing » c’est le risque de l’optimisme mal compris : c’est communiquer sur des valeurs qu’on n’a pas.
- C’est très risqué parce que ça ne peut pas durer. Les salariés s’expriment.
- Tous les salariés sont des médias à eux tout seuls ; il y a une symétrie des attentions.
- Le fait de poser que l’optimisme c’est sa valeur permet de s’entourer de gens incroyables.
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Barbara Reibel
Coach Happiness, Auteure et Blogueuse
Fondatrice du site Happiness Factory et du blog En 1 mot
[…] Bonne nouvelle : l’optimisme, c’est comme un muscle, ça se travaille. Voir l’interview de Catherine Testa pour Happiness Factory. […]
En ce jour de fête des mères au Mexique, je me suis réveillée en écoutant l’interview que tu as faite à Catherine Testa J’ai beaucoup aimé, moi qui suis une éternelle optimiste! Ecoutez. Belle journée à tous. Osez l’optimisme!
Merci Samia ;-))
[…] n’est pas être égoïste que de prendre soin de vous et cela vous rendra plus […]
[…] La liste de questions – sans réponses – n’en finit pas. À cette tourmente planétaire s’ajoutent encore tes propres incertitudes, celles qui constituent ton quotidien, et c’est ainsi que tu te retrouves avec un éléphant dans ton salon ! Un peu comme cette perte de tes repères familiers que tu ressens après un déménagement. Ou ce sentiment d’impuissance que tu as pu ressentir si tu as connu un licenciement ou un deuil. Alors comment bien vivre dans des temps incertains, comment bien vivre avec l’incertitude ? […]